Mon premier roman de Karim Berrouka m’a attirée par son côté décalé : La Jour où l’humanité a niqué la fantasy, un titre sacrément prometteur aux éditions ActuSF. Mais je ne savais pas encore dans quoi j’avais mis les pieds, jusqu’à ce que je rencontre un lutin au sperme enflammé et une gueule de bois tueuse de naïade. Rien que ça. Une fantasy déjantée qui me faisait penser à Pratchett mais qui, au final, a son style bien à elle et qui ne démérite pas.
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8 idées… Sur Terry Pratchett
Alors même que je pensais ne plus en faire beaucoup en 2019, je suis pas mal inspirée ces derniers temps pour vous proposer de nouveaux « 8 idées ». Et je réalise seulement maintenant que je n’en ai jamais consacré à cet auteur que je cite si souvent comme mon inspiration, celui qui a signé définitivement mon amour pour les littératures de l’imaginaire et que j’ai tatoué sur ma peau : Terry Pratchett. Il est plus que temps de corriger cette erreur !
Disque-Monde 33 : Allez les mages !, de Terry Pratchett
Pour partir en vacances, je refusais de prendre de risques : partir 2 semaines à l’étranger avec un livre auquel on n’accroche pas, c’est renoncer à toutes velléités de lecture lors des longues heures de vol ou de bus que le sommeil de ne vole pas. Alors j’ai embarqué une valeur sûre avec le 33ème tome des Annales du Disque-Monde : Allez les mages ! de Terry Pratchett. Malgré un sujet qui me parle peu (le foot), nulle surprise que j’aie été totalement emballée. Je ne peux d’ailleurs pas me défaire de l’idée que l’expérience de l’auteur rend son style meilleur de tome en tome.
De Bons Présages, de Pratchett et Gaiman
S’il y a bien un livre que je voulais découvrir depuis longtemps, c’était certainement De Bons Présages qui réunit deux auteurs que j’admire beaucoup : Terry Pratchett et Neil Gaiman. Je vous laisse donc imaginer quel fut mon couinement de joie – c’est là qu’on est heureux de vivre seul, ça évite pas mal de ridicule ! – lorsque je l’ai découvert dans le colis de Noël que m’avait envoyé la super copinaute Gaëlle de Pause Earl Grey. La tentation fut forte de le dévorer aussitôt mais l’envie de préserver cette lecture pour un moment où j’aurai vraiment le temps de la savourer le fut plus encore, ce n’est donc que 4 longs mois plus tard que j’ai enfin découvert ce roman.
Découvrons… Disque-Monde 16 : Accros du roc, de Terry Pratchett
Je ne vous en avais parlé qu’en passant, chers lecteurs, mais le fait est que je me suis replongée dans quelques tomes du Disque-Monde cet été et que je ne compte pas faire l’impasse sur leurs chroniques malgré le temps qui passe tant cette série et les messages qu’elle fait passer sont importants à mes yeux. Je prends donc un format un petit peu plus court que d’habitude pour vous parler cette fois d’Accros du Roc, seizième tome des Annales du Disque-Monde mais que vous pourrez lire bien avant tout ça si jamais le résumé vous emballe.
Disque-Monde 2 : Le Huitième Sortilège, de Terry Pratchett
Après avoir parlé, la semaine dernière, de La Huitième Couleur de Terry Pratchett, premier tome de sa saga Les Annales du Disque-Monde, je vous avais promis de ne pas vous faire attendre plus longtemps et d’aborder au plus vite la question du deuxième tome. C’est donc parti : parlons aujourd’hui, chers lectures, du Huitième Sortilège de Terry Pratchett. Cette saga étant l’une de mes préférées, je ne vous ferai donc pas, à chacun des articles la concernant, l’éloge de son humour et de sa fraîcheur, car cela deviendrait un peu répétitif. Je rappellerai seulement que ce tome est le seul qui doive suivre un ordre de lecture précis puisqu’il clôt l’histoire commencée avec La Huitième Couleur alors que les autres constituent chacun une histoire close sur elle-même, pensez donc bien à suivre cet ordre de lecture exceptionnel !
Disque-Monde 1 : La Huitième Couleur, de Terry Pratchett
Comme vous saurez bientôt que je ne fais jamais les choses conventionnellement, chers lecteurs, je vous propose aujourd’hui de remonter en arrière dans la série des Annales du Disque-Monde dont nous avions déjà abordé les tomes 13 (Les Petits Dieux) et 14 (Nobliaux et sorcières), en parlant cette fois du tout premier tome de cette saga de fantasy comique : La Huitième Couleur. Les deux premiers tomes du Disque-Monde sont les deux seuls ayant une histoire qui se suit réellement, les autres possédant chacun une histoire close sur elle-même, bien que prenant tous place dans le même univers et faisant appel à des personnages que l’on recroise régulièrement (tel que Rincevent, personnage principal de ce premier livre).
Disque-Monde 14 : Nobliaux et sorcières, de Terry Pratchett
Aujourd’hui, chers lecteurs, je vous propose d’explorer un nouveau tome des Annales du Disque-Monde de Terry Pratchett – pour lesquelles vous avez déjà pu observer mon admiration sans borne dans l’article consacré au treizième tome : Les Petits Dieux ! Comme vous le savez peut-être déjà, il n’est pas nécessaire de lire ces Annales dans l’ordre mais je ne peux m’en empêcher – je dois être un peu mono-maniaque sur les bords – et je me suis donc récemment attaquée au quatorzième tome intitulé Nobliaux et sorcières. Dans ce tome, nous retrouvons trois fameuses sorcières que nous avons pu rencontrer dans les tomes précédents (ou que nous pouvons découvrir à cette occasion, ça fonctionne aussi) aux personnalités bien marquées : nous avons Mémé Ciredutemps, la vieille fille un brin revêche – et par « un brin », comprenez qu’elle peut forcer une buche à s’embraser rien qu’en la foudroyant du regard -, Nounou Ogg, la vieille libidineuse à la tripotée d’enfants et petits enfants et Magrat Goussedaille, la jeunette maladroite terriblement peu sûre d’elle.
Disque-Monde 13 : Les Petits Dieux, de Terry Pratchett
Les Petits Dieux est le treizième tome des Annales du Disque-Monde, célèbre cycle fantasy d’une petite trentaine de tomes écrit par Sir Terry Pratchett – eh oui, monsieur a été anobli par la Reine d’Angleterre elle-même. Alors pourquoi ce tome-là en particulier ? Peut-être était-ce pour marquer ce chiffre symbolique, porte-malheur dans la chrétienté et dans la croyance commune, mais en tout cas Les Petits Dieux ont une ambiance très particulière au sein du cycle du Disque-Monde. Ce livre parle bien évidemment de religion et, plus encore, des dérives de la religion : il y est question, entre autres, de la torture, des croisades, de l’inquisition, de la vénération des icônes, de la toute puissance des institutions et de la philosophie. Autant vous dire que l’ambiance y est bien moins légère que dans les premiers tomes du Disque-Monde – je n’ai pas encore fini le cycle, je lis les livres dans l’ordre et Les Petits Dieux est l’un de mes derniers, je ne me prononce donc pas pour la suite. Même si Pratchett évoquait déjà des sujets importants dans les tomes précédents (tels que l’industrialisation, la littérature, le cinéma, etc.), j’ai eu la sensation qu’il abordait celui-ci de façon plus sérieuse. N’en déduisez pas que ce livre est dénué d’humour pour autant ! On reste dans un tome des Annales du Disque-Monde, avec tous ses aspects loufoques, ses parodies incessantes, son humour absurde et le rire n’en est clairement pas absent. Il me semble, en revanche, qu’il n’est pas, ici particulièrement, au premier plan : cette fois, la vedette est la critique. Et quelle critique ! Mordante, elle remet absolument tout en cause : institutions, prophètes, dirigeants, croyants, incroyants, philosophes et dieux eux-mêmes ; tout le monde a le droit à sa remontrance.