Offert par mon cher et tendre, Le Cœur perdu des automates de Daniel Wilson est un roman one shot steampunk dont je n’avais pas encore entendu parler, c’était donc pour moi une plongée dans l’inconnu. La temporalité, à mi-chemin entre notre siècle aux USA et le XVIIIe siècle en Russie, promettait du dépaysement. L’intrigue, à base de société secrète d’automates sur le déclin, promettait de l’action et du rebondissement. Une recette qui a de quoi plaire, et qui a globalement tenu ses promesses, même s’il m’a manqué un petit quelque chose.
Étiquette : Philosophie
La Passe-Miroir 4, de Christelle Dabos
Je sais que j’arrive un peu après la bataille, ne m’étant pas vraiment précipitée en librairie pour lire ce dernier tome, mais me voilà tout de même après ma lecture de La Passe-Miroir 4 : La Tempête des Échos de Christelle Dabos. Les avis sur ce dernier tome de la quadrilogie me faisaient très peur avant de le commencer : une bonne moitié du lectorat s’est déclarée très déçue de ce tome, affirmant même souvent n’y avoir rien compris. Je vais tout de suite lever le mystère : pour ma part, j’ai beaucoup aimé, autant que les tomes précédents (voir mes avis sur les tome 1, tome 2 et tome 3). Le dénouement final est un peu frustrant, certes, mais rien ne m’a paru décevant ou incompréhensible dans ce livre. Ne pas être une fan acharnée de la saga faisait peut-être aussi que j’en attendais moins que certains, mais j’ai pris un véritable plaisir à le lire et me suis laissée surprendre par la fin construite par Christelle Dabos avec bonheur et volupté.
Gargantua, de Rabelais
Autant le dire d’entrée de jeu : je n’ai pas aimé Gargantua de Rabelais. Pour tout dire, je ne l’ai même pas fini. Car j’ai beau, de manière générale, aimer la littérature classique, cela englobe tellement d’auteurs qu’on ne peut pas tout aimer. La seule façon de le savoir, c’est de tenter et de se faire sa propre opinion. Et après des années de tergiversations, j’ai fini par tenter la lecture de Gargantua, sans malheureusement accrocher.
En Terre étrangère, de Robert Heinlein
Désireuse de parfaire ma culture SFesque (faute de meilleur mot, je trouve que cet adjectif sonne bien à l’oreille, non ?), je suis tombée au hasard de mes pérégrinations sur le web sur une liste d’œuvres dites « classiques » de la science-fiction. Sur celle-ci, un titre qui m’était jusqu’alors parfaitement inconnu a retenu mon attention : En Terre étrangère de Robert Heinlein (auteur du célèbre Starship Troopers), où comment un homme n’ayant jamais rencontré la civilisation humaine s’adapte à la vie terrestre.
Un Monde meilleur (2000)
Je n’ai jamais que 17 ans de retard – et encore, à quelques mois près, ç’aurait pu être 18 – mais voilà, j’ai enfin vu Un Monde meilleur avec le jeune Joel Hayley Osment au sommet de sa gloire. Dans ce film au message ultra-positif, le jeune Trevor est chargé d’un projet de classe par son professeur, Eugène Simonet : il doit trouver un moyen de rendre le monde meilleur et le mettre en pratique. Son idée est alors de rendre trois services importants à des personnes en leur demandant de faire de même pour leurs prochains.