Après avoir adoré la série Netflix et entendu de très bons échos sur le film (que je regarderai bientôt !), je me suis lancée dans la lecture de la bande dessinée originale du Transperceneige de Lob, Rochette et Legrand dans le cadre du thème « Adaptations » du premier mois du Hold My SFFF Challenge saison 2. Avec ses graphismes à l’ancienne et son histoire très différente de ses adaptations, je ne savais pas dans quoi je me lançais. La découverte était au rendez-vous !
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Mignonnes (2020)

Vous me connaissez maintenant, chers lecteurs, le cinéma français n’est pas mon dada de base. Pourtant, quand il aborde des thématiques actuelles, je lui laisse une chance et il me surprend régulièrement en bien. Et c’est le cas avec Mignonnes, qui suit le parcours d’Amy, 11 ans, fraîchement débarquée du Sénégal avec sa famille, qui découvre la vie parisienne et se prend de fascination pour un groupe de danseuses de son âge surnommées « les mignonnes ».
Lire la suiteChanson douce, de Leïla Slimani
Ayant été voir le film en décembre dernier, je n’ai pu m’empêcher de sauter sur le roman original Chanson douce de Leïla Slimani dès que j’en ai eu l’occasion. Et il n’a pas fait long feu : en 24h, la bête était dévorée ! J’étais très curieuse de voir si cette lecture parviendrait à me conserver le sentiment de malaise ressenti pendant le film tout en m’éclairant davantage sur les motivations de notre sombre héroïne. Pari à moitié réussi, et je vous explique pourquoi.
Play (2020)
Je suis allée voir Play en début d’année, un peu par défaut : il passait à la bonne heure, au bon endroit et le pitch avait l’air sympa. Mais je n’en attendais pas grand chose de plus qu’un divertissement correct, étant toujours méfiante avec les films français (franco-belge, pour être exacte, mais on ne se refait pas !). Et Play m’a eue. Il m’a clairement eue avec son découpage particulier, en petits bouts de films enregistrés à la volée, par-ci par-là, par Max, un jeune garçon auquel on offre sa première caméra et que l’on suit, par courts extraits, dans son cheminement vers l’âge adulte avec sa bande de potes.
Pupille (2018)
Petite déception cinématographique aujourd’hui, avec un film français dont le sujet semblait pourtant frais et original : Pupille, histoire d’un jeune bébé né sous X à Brest, depuis l’accouchement jusqu’au départ chez la famille adoptive, en suivant tout le parcours administratif et humain qui se cache derrière.
Découvrons… Millénium 4, de David Lagercrantz
Si je ne pensais pas le lire tout de suite, l’imminence de la sortie de son adaptation au cinéma m’a portant convaincue de me replonger dans la saga Millénium avec un quatrième tome qui est le premier à n’être pas de la plume de Stieg Larsson, son auteur originel, Millénium 4 : Ce qui ne me tue pas de David Lagercrantz.
Bernie (1996)
Alors que nous fonçons tous en salles pour aller voir Star Wars VIII, plutôt que de pondre un énième avis sur la question, sans doute moins qualitatif que beaucoup d’autres, je préfère vous ramener quelques années en arrière avec un film français daté de 1996 et intitulé Bernie. Bernie – joué par Albert Dupontel -, c’est un orphelin d’une trentaine d’années, limité intellectuellement et d’une naïveté d’enfant, qui se lance dans le vaste monde à la recherche de ses parents en créant bien des problèmes autour de lui.
Petit bonheur 9 : Halloween
Même s’il commence à être connu sur le petit bout de blogosphère littéraire qui passe régulièrement par chez moi, je reprécise quand même le principe du « Petit bonheur hebdomadaire » pour ceux qui se seraient perdu en route. Ce rendez-vous a été mis en place par Pause Earl Grey et il consiste à parler, chaque semaine, d’un petit événement qui a apporté de la joie dans notre quotidien.
Ce qui nous lie (2017)
Quand je vois écrit « film français », sur une affiche de cinéma, j’avoue avoir tendance à fuir – et je ne pense pas être la seule. C’est pourquoi Ce qui nous lie n’était pas le film qui me tentait le plus à la base. Et pourtant, l’avis très positif d’amis m’a convaincue de lui laisser une chance, pour le meilleur. Le pitch m’a beaucoup fait penser à celui de Juste la fin de monde de Lagarce : un fils, Jean, revient dans sa famille après des années d’absence sans donner de nouvelles et retrouve son frère, Jérémy, et sa sœur, Juliette à cause d’une mort imminente, non celle du fils mais du père.
Everything, Everything (2017)
Peu adepte de romances en littérature, je n’avais pas lu le roman de Nicola Young avant d’aller voir le film Everything, Everything. Je ne savais donc pas à quoi m’attendre mais, beaucoup plus tolérante aux romances au cinéma lorsqu’elles sont bien faites, j’étais prête à me laisser agréablement surprendre. Le thème de la maladie qui nous présente Maddy, jeune fille immunodéficiente qui vit cloitrée chez elle depuis 18 ans, m’a donc beaucoup fait penser à Nos Étoiles contraires au commencement mais j’ai vite été rassurée sur la différence de traitement de sa rencontre avec Olly, le charmant fils des voisins.