Après quelques mois d’absence (plot twist : un bébé, ça prend du temps !), me voilà de retour pour vous parler du premier tome d’une duologie dystopique : La Machine de Katia Lanero Zamora, parue aux éditions ActuSF. De la même autrice, j’avais déjà lu Les Ombres d’Esver. Dans un style totalement différent, le charme à pourtant de nouveau opéré. Classes huppées prenez garde, la révolution est en marche !
Lire la suiteÉtiquette : dystopie
La Sélection 4 & 5, de Kiera Cass
Il en faut vraiment beaucoup pour me convaincre d’abandonner une saga en cours. Si elle a su m’accrocher un tant soit peu et n’est pas trop longue, cela suffit à me donner envie d’aller jusqu’au bout. Tout simplement parce que je déteste le sentiment d’inachevé, j’aime aller au bout des choses. Et malgré les critiques que j’ai pu formuler à son égard (voir mon avis sur le tome 1, ou les tomes 2 & 3), La Sélection m’a divertit. J’étais donc curieuse de voir la direction que prendrait Kiera Cass dans les deux derniers tomes : L’Héritière et La Couronne. Et globalement, ce fut une bonne surprise. Cette saga ne marquera pas ma vie de lectrice, certes, mais cette continuation a su se renouveler pour retrouver un peu des bonnes idées du premier tome. Lire la suite
La Sélection 2 & 3, de Kiera Cass
Après une lecture en demi-teinte mais tout de même divertissante du premier tome, je n’ai pu m’empêcher de finir l’histoire d’America et de ses prétendants avec la lecture du tome 2 : L’Élite et du tome 3 : L’Élue de La Sélection de Kiera Cass. Car si je dois reconnaître un point plus que positif à cette série c’est d’être terriblement addictive. On a beau deviner la fin à 10km, on ne peut s’empêcher de vouloir la voir se réaliser. Et tout le talent de l’auteure a été de réussir à me faire douter malgré tout.
Le Grand Secret, de Barjavel
Dans le cadre du HMSFFF Challenge, je me suis retrouvée fort dépourvue, quand la bise janvier fut venu : dans ma PAL, je n’étais pas sûre d’avoir d’utopie/dystopie encore à lire. Et pourtant, en cherchant bien, je suis tombée sur un livre pile poil dans le thème qui prenait la poussière depuis quelques années déjà : Le Grand Secret, de René Barjavel. Ayant, jusqu’ici, plutôt bien apprécié les œuvres de l’auteur, je n’ai pas hésité bien longtemps à entamer celle-ci.
Underground Airlines, de Ben Winters
Reçu par le concours des éditions ActuSF, j’ai lu Underground Airlines de Ben H. Winters attirée par un pitch très prometteur, à base de réalité alternative, d’esclavagisme et de chasseurs de primes. Un roman qui promet autant d’aventures que de remises en questions, et qui tient ses promesses.
La Sélection 1, de Kiera Cass
Après l’avoir vu passer si souvent sur la blogo, j’ai récemment craqué et ai eu envie de lire le premier tome de La Sélection de Kiera Cass. C’est une lecture légère, qui se lit rapidement et sans prise de tête (pour vous dire, en 2 jours il était fini), parfaitement ce dont j’avais envie pour le début de l’été et après avoir fini le gros pavé de Patrick Rothfuss. J’étais attirée par le côté dystopie, moins par le côté romance, et il faut dire que le second prend quand même beaucoup le pas sur le premier.
Le Chaos en marche 1, de Patrick Ness
Reçu lors de mon swap rouge avec Mabu, La Voix du couteau est le premier tome de la trilogie Le Chaos en marche de Patrick Ness. Les premières pages furent surprenantes et m’ont fait hésiter sur ma volonté à continuer. Mais le pitch était passionnant et les goûts littéraires de Mabu ne sont plus à prouver alors j’ai pris mon courage à deux mains et continué ma lecture… Pour mon plus grand bonheur.
Découvrons… Le Vivant, d’Anna Starobinets
Une couverture austère, un titre obscur… Ce roman ne partait pas gagnant face aux couvertures attrayantes et aux titres évocateurs qu’il côtoie chez le libraire. Et pourtant, son pitch fait mouche. Aussitôt, l’histoire évoque l’originalité avec un idée innovante que je n’avais pas encore connue, une forme assez morcelée mais très adaptée qui insuffle encore un peu plus de fraîcheur à l’écriture et des personnages tellement atypiques et déconnectés de notre réalité qu’ils en deviennent attachants.
Le Meilleur des mondes, d’Aldous Huxley
Parmi les grands incontournables de la science-fiction, il y a en a un – bon, plusieurs, en fait, mais commençons par celui-là – dont je ne vous ai pas encore parlé alors qu’il fait partie de mes œuvres favorites. Bien avant 1984 d’Orwell, ce fut Huxley qui m’introduisit au genre de la dystopie avec Le Meilleur des mondes. Je trouvais l’histoire plus simple, plus accessible pour commencer et pourtant tout aussi frappante et révélatrice sur l’évolution de notre société.
1984, de George Orwell
À défaut de tous avoir eu le temps de lire 1984 de George Orwell – même si ce serait une bonne idée de le trouver, le temps, pour un tel livre ! –, nous avons déjà tous entendu au moins une fois parler du fameux « Big Brother » qui nous observe à notre insu et bafoue toutes les lois de la liberté. C’est en 1949 que George Orwell imagine un monde futuriste – mais tout de même pas si éloigné que ça, histoire de rendre la menace d’autant plus présente – dans lequel l’être humain n’a plus aucune liberté d’expression et se retrouve totalement surveillé par le tout-puissant État. Ce classique de la science-fiction, référence ultime en terme de dystopies, ne date donc pas d’hier et pourtant, bien que nous ayons aujourd’hui et depuis longtemps dépassé la date fatidique qui donne son nom au roman, 1984 est toujours une des meilleures ventes de ces dernières années tant ce qu’y décrit l’auteur sonne toujours aussi vrai et menaçant à l’heure actuelle où la politique s’insinue toujours davantage dans nos foyers. Il était donc inévitable, chers lecteurs, que je vous parle un peu de ce roman de George Orwell que j’ai lu il y a quelques années et qui a déjà fait couler beaucoup d’encre. Même si ce n’est pas mon livre préféré de l’écrivain – La Ferme des animaux est celui qui m’a vraiment fait le plus violemment réagir et a donc marqué mon esprit encore plus fort que 1984 –, j’ai tout de même lu intensément ce roman dont l’intrigue prenante et les personnages calculés avec une telle justesse vous maintiennent en haleine jusqu’au dénouement.