C’est par le truchement des réseaux sociaux et le prêt d’une amie que j’ai découvert La Fabrique de poupées d’Elizabeth Macneal, un roman qui m’a sortie de ma zone de confort pour le plus grand bien. Thriller mêlé de romance qui parle d’art au milieu du Londres du XIXe, en pleine exposition universelle, Macneal sait construire roman est riche qui tient en haleine.
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La Fille aux mains magiques de Nnedi Okorafor est une novella fantasy parue aux éditions ActuSF, qui m’a attiré l’œil par deux égards : pour l’autrice dont j’ai beaucoup aimé Qui a peur de la mort ? ; et pour l’illustrateur, Zariel, qui donne superbement vie à cette histoire. Un conte plein de poésie mis en image avec beaucoup d’empathie.
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Comme une envie m’a prise de me plonger dans l’univers steampunk à la française de Fabrice Colin lorsque l’article de la copinaute Pause Earl Grey a fait un éloge passionné d’Arcadia, un diptyque réuni en intégrale par Bragelonne. Et je ne suis pas surprise que cette lecture lui ai plu : Fabrice Colin est un écrivant passionné qui sait créer un univers aux envolées lyriques saisissantes et rendre beau jusqu’à l’Apocalypse elle-même. Pas de chance cependant, moi, je suis passée à côté de ce livre… Mais je sais pourquoi !
Gagné sur le blog de Petite Plume, j’étais très curieuse de découvrir ce roman que j’ai beaucoup vu tourner sur la blogosphère. Sans être une grande lectrice de littérature contemporaine, j’avoue avoir succombé au charme du roman Le Soleil est pour toi de Jandy Nelson.
Impossible pour moi de passer par la capitale anglaise sans visiter quelques musée et le premier sur ma liste était, sans contexte, le fameux British Museum, musée d’histoire, d’art et de culture situé en plein cœur de Bloomsbury.
Petit havre de la culture asiatique en plein milieu de Paris, le musée Guimet est l’un de mes lieux-phares sur la capitale. Retraçant l’art de dizaines de pays du continent asiatique, ce musée fait partie des musées les plus denses que je connaisse et nous fait voyager, des heures durant, à l’autre bout du monde. N’espérez pas en faire un tour exhaustif en une demi-journée !
Aujourd’hui, chers lecteurs, je vous propose une visite qui date un peu pour moi – j’espère donc que vous m’excuserez la moindre qualité des photos pour cette fois – mais qui m’a bien marquée, bien assez pour que je veuille vous la recommander aussi. Au moins de nom, il est évident que vous connaissez le musée d’Orsay de Paris. Mais avez-vous déjà pris le temps de le visiter ?
Parce que je ne peux m’empêcher de faire un tour du côté des musées lorsque je visite une nouvelle ville – chacun ses points de repère, hein -, j’ai découvert cet été le charmant petit musée de Tessé dans la ville du Mans.
Ça ne deviendra pas une habitude, mais vous savez maintenant – peut-être – que j’aime sortir un peu des clous. C’est pourquoi je vous propose de nouveau un livre hors cadre qui n’est pas une fiction mais un petit manuel de stratégie militaire dont nous avons tous déjà entendu parler de près ou de loin : L’Art de la guerre de Sun Tzu. Très curieuse de ce domaine dans lequel je suis totalement novice, j’ai donc décidé de commencer par la base des bases.
Quand petit séjour rime avec petit budget, les bons plans, souvent, ce sont les musées. Si certains offrent la gratuité en fonction de l’âge ou de la situation des visiteurs, le Natural History Museum de Londres a en plus l’avantage d’être gratuit pour tous. Détour obligatoire, donc, que ce soit en famille ou entre amis !
Rat des villes 